Cette partie consiste à positionner et tester les composants électriques et électroniques sur le robot.La plupart des composants pourront être disposés comme vous le souhaitez. Personnellement, je suis parti du concept de rack avec une poubelle en aluminium qui m’a permis d’être plus souple en cas de changement de composants.
Cette partie représente l’un des axes de questionnement le plus difficile. En effet, nous n’avons aucune expérience en terme de fiabilité et de résistance des composants électroniques que nous allons choisir.
On retrouve dans cette partie un extrait des composants utilisés pour la conception du robot :
- Moteurs 24 v
- Servomoteurs
- Vérins électriques
- Contrôleur L298N
- Contrôleur MD10C
- Arduino
- Raspberry Pi 3
- Contrôleur TV Philips Ambilight
- Capteur Ultrasonic & sonore
- Capteur température DSB120 & capteur de luminosité
- Émetteur / Récepteur Radio fréquence 433 Mhz
Grâce aux capteurs ci-dessus, nous avons pu effectuer des relevés et commencer à interagir avec l’environnement à proximité du ROBOT.
Contrôler un moteur avec un Raspberry PI, rien de plus facile lorsque celui-ci fait 4W.
Le Raspberry pi est un nano ordinateur de la taille d’une carte de crédit, très performant pour sa taille, il permet d’embarquer plusieurs services dans son système d’exploitation linux. Il dispose de 40 GPIO - General Purpose Input Output – autrement dit des ports d’entrées / sorties en liaison directe avec les contrôleurs de moteur.
Cette carte électronique est la clé du projet R2D2. Après des années de conception, de test, de crash, de crash test, et d’intégration sur le robot final, nous avons enfin un résultat qui nous satisfait.
L’image ci-dessus représente des exemples de schémas de câblage.
Une vraie partie de plaisir !
Voici le résultat d’un câblage avant le premier crash test !